Zusammenfassung
Nach einer Übersicht über die Geschichte der Lungenresektionen werden die bisher geübten
Methoden des Bronchusstumpfverschlusses und ihre experimentellen Grundlagen dargestellt.
Aus den histologischen Untersuchungen geht hervor, daß die Stumpfheilung in erster
Linie von der epichondralen Bronchialwandschicht ausgeht. Da das Risiko einer Bronchusfistel
mit den bisherigen Methoden immer noch 0,5—5 %, bei Tbk. 1—6 % beträgt, wurde eine
eigene, ohne größeren Zeitverlust durchführbare Technik ausgearbeitet, welche durch
Einstülpung des Stumpfes und extramucöse Naht die Voraussetzungen für eine sichere
primäre Stumpfheilung erfüllt. Das technische Vorgehen sowie die experimentellen und
histologischen Kontrollen werden eingehend dargestellt. Nach Einführung der neuen
Technik trat nach 57 Stumpfverschlüssen keine Bronchialfistel mehr auf. Endlich werden
die Forderungen neu umschrieben, welche für eine primäre, komplikationslose Heilung
des Bronchusstumpfs erfüllt sein müssen.
Summary
A review is given on the history of pulmonary resection, and the usual methods of
closure of the bronchus and their experimental basis are outlined. Histological studies
show that healing of the bronchial stump originates mainly from the epichondral layers
of the bronchial wall. With the customary methods the risk of bronchial fistula is
still 0,5—5 % (1—6 % in tuberculosis). A new technique is described which fulfills
the prerequisites for primary healing by invaginating the stump and extramucosal suture.
Technical details and experimental and histological controls are outlined. In 57 cases
of pulmonary resection operated upon with this new method, no bronchial fistulae were
observed. Finally, the prerequisites for uncomplicated primary healing of the bronchial
stump are outlined once more.
Résumé
Après avoir parcouru l'histoire de la résection pulmonaire, on présente les méthodes
actuelles de la fermeture du moignon bronchique et leurs bases expérimentales. D'après
les examens histologiques, il apparaît que la guérison du moignon part en première
ligne des couches épichondrales au niveau de la paroi bronchique. Étant donné qu'avec
les méthodes utilisées jusqu'à présent, le risque d'une fistule bronchique était encore
d'1/2 à 5% et dans les tuberculoses, de 1 a 6%, nous développâmes une méthode qui
ne présente pas une plus grande perte de temps et consiste à l'enfouissement du moignon
et suture extramuqueuse qui remplit toutes les conditions pour une bonne cicatrisation
primaire. On présente la technique exacte et les contrôles expérimentaux et histologiques.
A la suite de l'utilisation de cette nouvelle technique, nous fermâmes 57 moignons
bronchiques, sans avoir constaté dans les suites, l'apparition d'une fistule. Pour
terminer, nous citons les conditions nécessaires à la guérison sans complication et
primaire des moignons bronchiques.